Lennback

Philippe Lennback en concert

Un mélange de blues, de chansons folk, des influences pop-rock et parfois country. Le répertoire est principalement en français clairsemé de quelques chansons en anglais.

Au chant je m'accompagne de diverses guitares : guitare acoustique, dobro (guitare à résonateur), guitare électrique.

La formule est adaptée à la demande et à la configuration des lieux de spectacle, en solo, en duo (guitare-basse), en trio (guitare-basse-batterie).

 

Mon itinéraire de musicien

Mon apprentissage de la guitare a commencé vers l'âge de 10 ans avec une guitare manouche munie d'un manche type « manche de pioche ». J'ai démarré en autodidacte car après 5 années de piano avec une prof revêche j'avais besoin de m'émanciper et de respirer un peu d'air pur.

A l'adolescence j'étais inspiré par les artistes français qui adaptaient les chansons du répertoire américain. Haufray chante Dylan, Gream Allwright et même Johnny Haliday avec « Noir c'est noir » ou « le pénitencier ».

Les premiers concerts en duo ou trio étaient très acoustiques et très folk song, avec déjà un mix de textes en français et en anglais. C'est dans les années 80 que j'ai constitué le premier groupe digne de ce nom baptisé «Walking The Dog», du titre d'une chanson des Rolling Stones. Avec ce groupe nous avons écumé les scènes de la région grenobloise et participé à l'un des premiers Printemps de Bourges.

En 1985 j'ai rencontré un producteur américain installé à Paris et qui cherchait à produire un artiste français. J'ai alors constitué un groupe avec des musiciens confirmés dont l'ancien bassiste d'Higelin, le percussionniste d'Etienne Daho, le guitariste d'Alan Stivel et Castelémis, un claviériste, Philippe Bestion qui a fait depuis son chemin dans de nombreux studios. Cette aventure a vu la production d'un disque au studio de Longueville au cours d'une séance d'enregistrement programmée entre les séances de Bill Deraime et celles de Charlélie Couture. La sortie de cet album a bénéficié d'un coup de pouce important en étant sélectionné par la FNAC parmi les 5 révélations de l'année 1985 dont entre autres Rita Mitsouko et Raoul Petite, sélection couronnée par un concert au Zénith avec Alain Bashung en tête d'affiche et Coluche en maître de cérémonie.

S'en suit quelques mois plus tard un retour vers Grenoble (loin du show-biz) et au fil du temps et des rencontres, des dizaines de concerts et 5 albums : « Partir », « Qu'on déchaîne », « Capitaine mon capitaine », « Jamming in the guitar shop » (en anglais, 9 reprises + 3 compos), et enfin Lennback #6, base su nouveau répertoire concert.